Conditions de travail
Une
infirmière à Singapour gagne environ 2000 $ Singapourien par mois. Elle
travaille en moyenne 160h/mois et 5 jours/7. Il existe plusieurs tranches
horaires qui sont divisées en trois : le matin (7h-15h30), l’après-midi (13h30-22h)
et le soir (21h-7h). Les vacances annuelles comptent 21 jours.
Code vestimentaire
Les
deux hôpitaux visités ont des tenues vestimentaires différentes mais les
cahiers des charges des différents groupes professionnels sont les mêmes.
Voici,
par exemple, dans l’Hôpital de la National University of Singapore (NUS), les
diverses tenues :
·
1er :
nurses managers / clinicians / nurse educators. Cela comprend les infirmières
cliniciennes, managers et « praticiennes formatrices ». Les étudiants
infirmiers ayant effectué la 4ème année de recherche sont encouragés
à poursuivre dans cette voie.
·
2ème :
senior staff nurses. Cela comprend les infirmières ayant suivi des formations
supplémentaires et/ou un master. De plus, elles cumulent plusieurs années de
pratique. Nous pouvons les distinguer à l’aide de deux lignes bleues sur leurs
manches.
·
3ème :
staff nurses. Ce staff comprend le personnel infirmier, ayant 3 ou 4 ans
d’étude. Notons que celles qui ont suivi la 4ème année sont plus
payées (300-400$/mois de plus) mais elles ont le même cahier des charges. Nous
pouvons les différencier par la ligne bleue sur leurs manches.
·
4ème :
assistant nurses, c’est-à-dire les aides-infirmières. Elles ont une formation
de 2 ans. Les soins techniques se limitent pour elles à la prise des signes vitaux.
·
5ème :
health care assistant qui est similaire à l’aide-soignant. Il a une formation
de 3 à 6 mois. Les soins techniques ne lui sont pas autorisés.
Les
visiteurs et les patients peuvent savoir ainsi à qu’ils s’adressent. Nous
trouvons ce système d’affichage judicieux et utile.
Vision de l’infirmière
Nous
nous sommes intéressés à l’image de la profession infirmière auprès de la
population singapourienne. Pour cela, nous avons interrogé des étudiants, des
professeurs et des infirmières. Toutes les réponses récoltées convergent dans
le même sens: les infirmières sont davantage perçues comme des exécutantes
et sont peu reconnues socialement. Cependant, les mentalités changent en même
temps que la profession et évoluent positivement. Bien que la hiérarchie médecin-infirmier
persiste, elle tend à diminuer chez les nouvelles générations. Nous pouvons
poser ce même constat en Suisse. En effet, nous sommes, tout comme
Singapour, en phase de transition.
Environnement professionnel
« Do
not disturb » : Suite aux nombreuses erreurs d’administration
médicamenteuses, l’infirmière responsable de contrôler les médicaments porte un
gilet rouge où il est inscrit « Ne pas déranger ». Ainsi, elle n’est
pas dérangée et peut effectuer son travail sans interruption. Nous nous sommes
tout de même posés la question quant à l’efficacité de cette mesure, et il
semble que les erreurs soient diminuées. Pour nous, c’est une grande
découverte, même si, au début, nous en avons été un peu étonnés. Après avoir
discuté, nous trouvons ce système pertinent et adéquat. En tant qu’étudiants,
nous remarquons également que nous sommes souvent dérangés lors de la
préparation des médicaments ou lorsque nous remplissons les dossiers. Ce
système permet de se concentrer lors de ces actes : nous votons donc
pour !
Informations
sur le patient : Le nom du patient, du médecin et le régime alimentaire
se trouvent sur une plaquette affichée à côté de la porte de la chambre. Nous
trouvons pertinent de mentionner ces informations. Toutefois, nous avons
remarqué qu’en Suisse, sur nos différents lieux de stage, l’affichage du nom du
patient est controversé, certaines institutions souhaitant garantir l’anonymat.
Nous trouvons des points positifs comme négatifs à identifier le patient. Par
exemple, il est utile pour le personnel soignant de s’assurer que c’est la
bonne chambre et le bon régime alimentaire. Cependant, la confidentialité n’est
pas maintenue lorsque des visiteurs viennent trouver leurs proches et lisent
les noms sur les autres portes. De plus, le fait de ne pas mettre le nom sur la
porte peut favoriser les contacts entre l’équipe et l’entourage, puisque
celui-ci s’adresse aux soignants afin de se rendre dans la bonne chambre.
Ces
informations sont répétées sur une plaquette au lit du patient. De plus, elles
nous renseignent sur le degré de risque de chute et la langue du patient. Cette
dernière précision nous semble appropriée au vu du contexte multiethnique.
Panneaux
et affichages : tout au long de nos visites, nous avons pu
observer de nombreux panneaux et affichages explicatifs et préventifs, comme
par exemple pour les chutes, la désinfection des mains, les droits et
responsabilités du patient, les codes vestimentaires du personnel. En Suisse,
il nous semble que les visiteurs et le personnel sont moins souvent
sensibilisés à ces différentes mesures.
Prévention des chutes
Nous
souhaitons souligner le programme de prévention des chutes observé dans les
deux hôpitaux. Nous avons été subjugués par les moyens mis en place pour la
sécurité des patients à risque, particulièrement la population âgée. Le risque
de chute s’évalue quotidiennement par l’utilisation d’une échelle semblable
dans sa forme à l’échelle de Braden. Le score obtenu détermine le protocole mis
en place. Nous avons ainsi vu, pour chaque
patient concerné, un pictogramme devant la chambre et au dessus du lit
ainsi qu’un bracelet fluorescent au poignet signifiant au personnel et aux
visites le risque existant. Un poster explicatif des actions possibles (voir
photo) sensibilise les acteurs concernés.
Programme NAPE pour les étudiants
Parmi
les nombreux projets pilotes qui nous ont été présentés depuis notre arrivée,
le « Nursing unit for Academic and Practice Excellence » a été l’un
de ceux que nous voulions présenter dans notre blog, afin de proposer une
réflexion sur les formations singapouriennes et suisses. Ce projet concerne
actuellement moins d’une centaine d’étudiants qui se voient proposer
d’effectuer l’intégralité de leur formation pratique dans le même service. Un
étudiant sélectionné pour un service de pédiatrie y retournera chaque été et ne
découvrira les autres spécialisations que durant ses cours. Nous avons trouvé
dommage pour nos collègues singapouriens de passer à côté des découvertes que
nous avons eues durant notre formation et avons remarqué encore une fois la
qualité de notre formation pratique. Bien que nos interlocuteurs nous aient présenté
les bénéfices pour les étudiants, à savoir la garantie d’avoir une place de
stage et le perfectionnement dans le domaine sélectionné, nous restons quelque
peu perplexes. Vivre des expériences en gériatrie, psychiatrie et santé
communautaire en parallèle à l’intrahospitalier a pour nous beaucoup de sens et
permet aux futurs professionnels que nous sommes de développer différentes compétences
et d’avoir une vision englobant divers aspects de la prise en charge.
Cependant, la réalité est que les places de stages se font rares et que les
étudiants en soins infirmiers de plus en plus nombreux. Cela concernant déjà
certains de nos collègues Assistants en Soins et Santé Communautaire, nous
avons pris conscience que la pluralité de nos expériences ne sera peut-être plus
possible pour nos successeurs dans les années à venir.
Soins palliatifs
Sara étant actuellement en stage en soins palliatifs,
nous avons pu développer ce point avec nos interlocuteurs. Singapour, connue
pour ses nombreux règlements, ne déroge pas à la règle dans ce domaine. Un
protocole strict entre en vigueur dès que le pronostic du patient est engagé.
Une réunion a lieu avec la famille pour présenter le cas, les interventions
mises en place et les réactions du patient, suite à laquelle ils doivent
décider si la thérapie reste curative ou passe en palliative. Ce choix repose
entièrement sur les membres de la famille et ne prend pas en considération les
souhaits du personnel soignant ni même du patient. Dans la culture orientale,
l’individu n’existe pas en tant que tel mais en tant que partie d’un tout, ce
qui rend ce procédé acceptable pour un Singapourien et très difficile à
entendre pour un étudiant suisse ! Un long débat a suivi, mêlant choc des
cultures à la nouvelle législation suisse de janvier 2013. Avec cette loi de
santé publique, le poids de la prise de décision par les proches amène des
enjeux nouveaux dans le suivi des patients en situation palliative.
Quant à Marion, dans le cadre de son travail de Bachelor, elle s’intéresse à la
prise en charge interculturelle des patients en fin de vie. En effet, le suivi
d’un patient en fin de vie de culture asiatique en Suisse peut questionner la
pratique infirmière, notamment au travers du concept d’autonomie et du droit à
l’auto-détermination.
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Suis Richard, je suis ici pour témoigner d'un grand herboriste qui a guéri ma femme d'un cancer du sein. Son nom est le Dr Imoloa. Ma femme a traversé cette douleur pendant 3 ans, j'ai presque dépensé tout ce que j'avais, jusqu'à ce que je voie des témoignages en ligne sur la façon dont le Dr Imoloa les guérit de leurs maladies, je l'ai immédiatement contacté. puis il m'a dit ce qu'il fallait faire avant d'envoyer le médicament à base de plantes. Je souhaite qu'il l'ait fait par le biais du service de messagerie DHL, et il nous a expliqué comment appliquer ou boire le médicament pendant deux bonnes semaines. et à la plus grande surprise avant la troisième semaine supérieure, ma femme a été soulagée de toutes les douleurs, croyez-moi, c'est ainsi que ma femme a été guérie du cancer du sein par ce grand homme. Il a également de la phytothérapie puissante pour soigner des maladies comme: la maladie d'Alzheimer, la maladie de Parkinson, le cancer du vagin, l'épilepsie, les troubles anxieux, les maladies auto-immunes, les maux de dos, les entorses, le trouble bipolaire, les tumeurs cérébrales, les tumeurs malignes, le bruxisme, la boulimie, les maladies du disque cervical, les maladies cardiovasculaires. Maladies, néoplasmes, maladies respiratoires chroniques, troubles mentaux et du comportement, fibrose kystique, hypertension, diabète, asthme, arthrite des milieux inflammatoires auto-immunes éd. maladie rénale chronique, maladie articulaire inflammatoire, impuissance, spectre d'alcool feta, trouble dysthymique, eczéma, tuberculose, syndrome de fatigue chronique, constipation, maladie intestinale inflammatoire, maladie de lupus, ulcère de la bouche, cancer de la bouche, douleur corporelle, fièvre, hépatite ABC, syphilis, diarrhée, VIH / SIDA, maladie de Huntington, acné du dos, insuffisance rénale chronique, maladie d'Addison, douleur chronique, douleur de Crohn, fibrose kystique, fibromyalgie, maladie inflammatoire de l'intestin, maladie fongique des ongles, maladie de Lyme, maladie de Celia, lymphome, dépression majeure, maligne mélanome, manie, mélorhéostose, maladie de Ménière, mucopolysaccharidose, sclérose en plaques, dystrophie musculaire, polyarthrite rhumatoïde. Vous pouvez le joindre par e-mail via drimolaherbalmademedicine@gmail.com / whatsapp +2347081986098 Site Web / www.drimolaherbalmademedicine.wordpress.com
RépondreSupprimerSuis Richard, je suis ici pour témoigner d'un grand herboriste qui a guéri ma femme d'un cancer du sein. Son nom est le Dr Imoloa. Ma femme a traversé cette douleur pendant 3 ans, j'ai presque dépensé tout ce que j'avais, jusqu'à ce que je voie des témoignages en ligne sur la façon dont le Dr Imoloa les guérit de leurs maladies, je l'ai immédiatement contacté. puis il m'a dit ce qu'il fallait faire avant d'envoyer le médicament à base de plantes. Je souhaite qu'il l'ait fait par le biais du service de messagerie DHL, et il nous a expliqué comment appliquer ou boire le médicament pendant deux bonnes semaines. et à la plus grande surprise avant la troisième semaine supérieure, ma femme a été soulagée de toutes les douleurs, croyez-moi, c'est ainsi que ma femme a été guérie du cancer du sein par ce grand homme. Il a également de la phytothérapie puissante pour soigner des maladies comme: la maladie d'Alzheimer, la maladie de Parkinson, le cancer du vagin, l'épilepsie, les troubles anxieux, les maladies auto-immunes, les maux de dos, les entorses, le trouble bipolaire, les tumeurs cérébrales, les tumeurs malignes, le bruxisme, la boulimie, les maladies du disque cervical, les maladies cardiovasculaires. Maladies, néoplasmes, maladies respiratoires chroniques, troubles mentaux et du comportement, fibrose kystique, hypertension, diabète, asthme, arthrite des milieux inflammatoires auto-immunes éd. maladie rénale chronique, maladie articulaire inflammatoire, impuissance, spectre d'alcool feta, trouble dysthymique, eczéma, tuberculose, syndrome de fatigue chronique, constipation, maladie intestinale inflammatoire, maladie de lupus, ulcère de la bouche, cancer de la bouche, douleur corporelle, fièvre, hépatite ABC, syphilis, diarrhée, VIH / SIDA, maladie de Huntington, acné du dos, insuffisance rénale chronique, maladie d'Addison, douleur chronique, douleur de Crohn, fibrose kystique, fibromyalgie, maladie inflammatoire de l'intestin, maladie fongique des ongles, maladie de Lyme, maladie de Celia, lymphome, dépression majeure, maligne mélanome, manie, mélorhéostose, maladie de Ménière, mucopolysaccharidose, sclérose en plaques, dystrophie musculaire, polyarthrite rhumatoïde. Vous pouvez le joindre par e-mail via drimolaherbalmademedicine@gmail.com / whatsapp +2347081986098 Site Web / www.drimolaherbalmademedicine.wordpress.com
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