lundi 4 mars 2013

Un peu d'histoire...


Singapour est un état dont la culture est représentative de la diversité de sa population. En effet, il regroupe notamment des immigrés chinois, malais et indiens. Les quartiers de Little India et de ChinaTown illustrent bien ces spécificités et ces traditions. Toutefois, les aspects les plus « choquants » relatifs à ces cultures, ont été écartés afin de maintenir une harmonie relative ente elles. En se promenant dans Singapour, nous pouvons ainsi découvrir de nombreux édifices religieux, dont des temples hindoux ou bouddhistes, des églises, des mosquées et des synagogues.
De plus, en conséquence de cette mixité ethnique, il existe quatre langues officielles : le malais, le chinois, le tamoul et l’anglais qui a été promue comme langue unificatrice de la nation.


Une légende malaise raconte qu’un prince de Sumatra, venu se mettre à l’abri d’une tempête sur l’île de Temasek,  y a vu un lion. Le lion est considéré comme un signe de bon augure, raison pour laquelle il décida de fonder une cité nommée « singapoura » pour « cité du lion ».


Mais l’histoire officielle débute en 1819 avec l’arrivée de Sir Stamford Raffles. Dans l’année 1970, il a reçu le titre de fondateur de l’île. C’est en 1965 que Singapour gagne son indépendance sur les britanniques.

Dès le début, la population de Singapour se montra dynamique, poussée à une activité intense par l’appât du gain. C’est une constatation qui ne manque pas de nous étonner, car c’est une ville qui semble en perpétuel mouvement et en réaménagement continu. Cette ville ne possède pas de ressources naturelles propres : ainsi le port est une plateforme essentielle où de nombreux bateaux importent les denrées élémentaires.
Mais elle est considérée comme une terre d’accueil, en matière de transport, de hautes finances, d’informatique, d’enseignement supérieur, de médecine, de médias numériques, d’art, d’architecture et de tourisme.





Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire